J’ai os ollos pleins de lágrimas
Je présente ici une collection qui emploie des vêtements existants. Ainsi sans prétention de pouvoir y répondre, je pose la question de la création subjective, personnelle et d’appartenance à une classe. Je pose la question du vêtement comme enseigne d’un statut. Du statut d’un morceau de tissus ou d’une robe existante. De leur valeur distincte et de la valeur de la création. Quels vêtements ontils assez de valeur pour être digne d’être préservés ? Pour qui dessinons-nous nos habits ? Et enfin, qui à le droit à la l’élégance ?
I present here a collection that uses existing clothes. Thus without pretending to be able to answer it, I pose the question of the subjective creation, personal and of belonging to a class. I ask the question of clothing as a sign of a status. Of the status of a piece of fabric or an existing dress. Of their distinct value and of the value of creation. What clothes are valuable enough to be worth preserving? For whom do we design our clothes? And finally, who has the right to elegance?